La campagne électorale en RDC commence officiellement ce vendredi 28 octobre 2011. Le 28 novembre, un peu plus de 32 millions d’électeurs auront à choisir l’un des 11 candidats à la présidentielle, et départageront 18 555 candidats pour les 500 sièges de députés. La préparation logistique du scrutin pose question. Le candidat Etienne Tshisekedi, qui se trouve en Afrique du Sud en ce moment, a créé la surprise hier en faisant savoir qu’il serait d’accord pour un découplage des deux scrutins. Mais il n’en est pas question selon la Commission électorale.
« Je déclare ouverte la campagne présidentielle à l'élection présidentielle et à la députation nationale du 28 novembre 2011, et vous souhaite à tous bonne chance ». Le pasteur Ngoy Mulunda a donné le top-départ. Mais sa confiance en la bonne tenue du scrutin n'est pas partagée par tous.
Quelques heures avant ce coup d'envoi, le candidat Etienne Tshisekedi a lancé un pavé dans la mare en faisant dire par son porte-parole Albert Moleka qu'il accepterait qu'on reporte les législatives à plus tard, à condition que l'on respecte la date de la présidentielle et celle de la proclamation du vainqueur. « Les dates du 28 novembre et du 6 décembre ne sont pas négociables en ce qui concerne l'élection présidentielle. En ce qui concerne les législatives, je crois qu'elles sont négociables », a ainsi affirmé Albert Moleka.
Cette annonce a fortement surpris les supporters d'Etienne Tshisekedi mais n'a eu aucun effet sur la détermination du président de la Céni de respecter le calendrier. « La Céni est prête, nous avons tout, nous sommes plus que prêts », a soutenu le pasteur Daniel Ngoy Mulunda.
C'est maintenant la course contre la montre si les premières urnes doivent arriver ce vendredi. Les bulletins des législatives doivent encore être conçus - 169 types de bulletins différents selon les circonscriptions. Les électeurs devront surtout savoir dans lesquels des 62 000 bureaux ils voteront ; leur localisation est aussi promise pour ce vendredi.
Copyright rfi.fr
Quelques heures avant ce coup d'envoi, le candidat Etienne Tshisekedi a lancé un pavé dans la mare en faisant dire par son porte-parole Albert Moleka qu'il accepterait qu'on reporte les législatives à plus tard, à condition que l'on respecte la date de la présidentielle et celle de la proclamation du vainqueur. « Les dates du 28 novembre et du 6 décembre ne sont pas négociables en ce qui concerne l'élection présidentielle. En ce qui concerne les législatives, je crois qu'elles sont négociables », a ainsi affirmé Albert Moleka.
Cette annonce a fortement surpris les supporters d'Etienne Tshisekedi mais n'a eu aucun effet sur la détermination du président de la Céni de respecter le calendrier. « La Céni est prête, nous avons tout, nous sommes plus que prêts », a soutenu le pasteur Daniel Ngoy Mulunda.
C'est maintenant la course contre la montre si les premières urnes doivent arriver ce vendredi. Les bulletins des législatives doivent encore être conçus - 169 types de bulletins différents selon les circonscriptions. Les électeurs devront surtout savoir dans lesquels des 62 000 bureaux ils voteront ; leur localisation est aussi promise pour ce vendredi.
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