Pages

jeudi 1 mars 2012

UDPS : Jacquemin SHABANI crucifie Etienne TSHISEKEDI

L’on ne sait plus comprendre ce qui se passe au sein de l’UDPS, encore moins qui est aux commandes de la machine politique d’Etienne TSHISEKEDI. Le secrétaire général adjoint de l’UDPS a révélé qu’un désordre régnait au sein du parti et chacun voulait défendre ses intérêts. Le premier à désavouer et à marcher sur les décisions de TSHISEKEDI, c’est son secrétaire général, Jacquemin TSHISEKEDI. Il est en désaccord sur la vision de la gestion de la chose publique avec son mentor.
imageIl est culotté Jacquemin Shabani, le secrétaire général de l’Udps, le parti de du « Vieux TSHIKAS ». Mardi dernier, il a déposé une plainte à l’office du Procureur général de la République au 2ème étage de l’immeuble de l’INSS à Gombe. L’action est dirigée contre les services congolais chargés d’immigration (DGM) et l’administrateur général de l’’ANR pour enlèvement, tortures et séquestration. Il exige ipso facto la restitution de son passeport et d’être soigné à l’extérieur du pays pour des traumatismes subis.
L’homme qui a le toupet de déposer une telle plainte par personne interposée car vivant en clandestinité sait pertinemment bien qu’il a été trouvé en possession des documents compromettants, d’un faux passeport. Il y a des images le montrant en train de commettre des voies de fait sur des agents de l’immigration qui l’avaient interpellé au poste de sortie de N’Djili.
Se croyant intouchable, il les a brutalisés puisque se considérant, lui, Shabani au-dessus des lois de la République pouvant se permettre d’agresser des agents de l’Etat en plein exercice de leur mission.
Avec tous ces faits qui sont étayés de preuve dont des éléments vidéo, c’est plutôt Jacquemin Shabani lui-même que le PGR devrait immédiatement passé sous mandat d’arrêt provisoire (MAP) pour le placer en détention provisoire en prison. Le contraire étonnerait tant les faits à charge du secrétaire général de l’Udps sont graves. Et il sait pertinemment bien. Raison pour laquelle il est entré en clandestinité et que c’est par personne interposée qu’il saisit le PGR. Alors qu’il devait aller lui-même expliquer ses infortunes dans les geôles de l’ANR comme il le prétend.
Il appert donc que si on doit appliquer la loi dans toute sa rigueur, c’est plutôt Shabani, le secrétaire général de l’Udps, qui serait à la porte de la prison. Si tel n’est pas le cas, qu’il quitte donc sa clandestinité étant donné que sa vie n’est pas du tout en danger. De par sa qualité de secrétaire général de l’Udps il bénéficie de la couverture de sécurisation de toutes les ONG de défense des droits de l’homme aussi bien nationales qu’internationales.
Apparemment, c’est à ce titre qu’il s’était permis d’agresser des agents de l’immigration en se disant comme d’habitude que la raison irait de son côté.
Mal lui en prit. Aujourd’hui l’épée de Damoclès est suspendue sur sa tête et une cellule peut même déjà être apprêtée à la prison de Makala.
Quant aux traumatismes subis par Jacquemin Shabani à l’ANR, où il n’ a du reste jamais passé la nuit et pour lequel il exige des soins à l’étranger, nous sommes en droit de nous poser la question de savoir si cette demande émane bien de Shabani Jacquemin, ci-devant secrétaire général de l’Udps qui se dit nationaliste. Quel nationalisme ? Un nationalisme qui laisse nos grands savants, des médecins à l’expérience éprouvée à Ngaliema, aux Cliniques universitaires et autres ex-Mama Yemo qui peuvent bien traiter son traumatisme en un tournemain. Curieusement Il leur préfère leurs collègues de l‘étranger qui n’ont pas plus d’expertise qu’eux.
SHABANI crucifie TSHISEKEDI
L’on ne sait plus comprendre ce qui se passe au sein de l’UDPS, encore moins qui est aux commandes de la machine politique d’Etienne Tshisekedi. En effet, dans une conférence de presse tenue hier, le secrétaire général adjoint de l’UDPS a révélé aux yeux du monde qu’un désordre régnait au sein du parti et chacun voulait défendre ses intérêts. Le premier à désavouer et à marcher sur les décisions de Tshisekedi, c’est son secrétaire général, Jacquemin Shabani. Il est en désaccord sur la vision de la gestion de la chose publique avec son mentor. Jacquemin Shabani, l’homme empêché de se rendre à l’extérieur parce que disposant dans ses effets d’un passeport d’une autre personne et des documents montés de toute pièce pour discréditer le gouvernement à l’extérieur, a décidé de saisir le procureur général de la République. Il a porté plainte contre l’ANR et la DGM.
Cet acte vient crucifier Etienne Tshisekedi. En fait, le vieux Tshikas avait déclaré qu’il ne pouvait pas se rendre devant la cour suprême de justice, parce qu’il n’avait aucune confiance en la justice de ce pays. Il a entrainé dans cette voie les membres de son parti. Mais aujourd’hui, Jacquemin Shabani fait tomber des masques. Il prouve que des déclarations de Thisekedi étaient des justificatifs pour couvrir sa honte. Car l’on ne peut pas porter plainte contre une justice qui n’est pas juste et à la quelle on ne fait pas confiance. Et donc il prouvé que la justice congolaise est réellement indépendante.
En outre, par cet acte, il reconnait clairement les institutions de la République, parce que les pouvoirs législatif et judiciaire reconnaissent Joseph Kabila comme le président légal et légitime. Et donc tout ce que faisait Tshikas était du pur théâtre. Et donc la maturité des congolais a poussé Jacquemin shabani à redevenir normal et à mettre fin au théâtre qu’ils ont offert aux Congolais. La vérité est têtue. Elle a fini par triompher. Comme dit la sagesse, seuls les imbéciles ne changent pas. Tout porte à croire que l’on est entrain de tourner la page mensongère développée par l’UDPS.
[Muenda Kani, Mapa Mitiba]

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Merci pour votre message.
Je tiens à vous rappeler que vous etes le seul responsable des propos tenu dans vos commentaires...

referencement google - messenger 9 - photo en studio - Plombier Noisy le grand