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mercredi 15 février 2012

RDC : Lambert MENDE, moralisateur sans morale !

Si le ridicule pouvait tuer, Lambert Mende ne serait plus de ce monde ! Ce Monsieur a franchement touché le fond; Il joue la prolongation tout en sachant qu’il n’a plus d’avenir politique dans ce Congo qui l’a vu naitre et qui lui a conféré ce peu de notoriété dont il peut se targuer aujourd’hui ! Lambert Mende, c’est tout simplement la HONTE de la République Démocratique du Congo (RDC) !
Il est vrai que Monsieur Mende Omalanga a longtemps travaillé dans l’ombre, et sillonné certaines capitales africaines, à la recherche d’une certaine notoriété. Il a frappé presqu’à toutes les portes les portes des présidents africains en quête d’une reconnaissance ; mais jamais il n’a été pris au sérieux. Un flatteur n’inspirant jamais confiance, Lambert Mende s’est toujours vu confié des seconds rôles ; sinon, de la figuration tout court. Il en est frustré, et cela se sent !
Qui oublie le zèle et l’éloquence de ce ‘flagorneur national’ pendant la Conférence Nationale Souveraine ! Mende Omalanga avait pleinement profité de la notoriété et de la popularité d’Etienne TSHISEKENDI pour se faire connaitre du peuple Congolais (zaïrois de l’époque), lors de cette Conférence Nationale Souveraine, en se faisant passer pour un opposant farouche au régime de Monsieur Mobutu Sese Seko ; mais l’histoire l’avait vite rattrapé et remis à sa place. L’homme n’était qu’une taupe infiltrée pour ‘vendre la mèche’.
Les esprits bien avisés se souviendront qu’un certain ‘mouvencier’ de l’époque (Monsieur Tshimbombo Mukuna) l’avait vilipendé, allant jusqu’à le taxer – lors de son intervention – d’« agneau la nuit, et loup en plein jour » ; menaçant même de le dénoncer publiquement, avant que Monsieur Banza Mukalayi ne dissuade ce dernier de le faire. De source sure, Mende Omalanga était de ceux qui allaient, nuitamment, se faire remettre de l’argent chez le trésorier du feu Maréchal, dans le but d’infiltrer et de déstabiliser l’opposition de l’intérieur. Ce Monsieur est un traitre-né ! Dans un camps comme dans l’autre, il ne doit jamais inspirer confiance ; il trahit comme il respire.
Les « Kabilistes » comme les « Kanembistes » doivent se méfier de ce « caméléon national» ; il est le seul de son espèce à pouvoir se transformer et à s’accommoder à toutes les situations – même les plus ridicules – pourvu d’y trouver son compte. « Sei mentissimo », diraient les latins : ‘le dernier des humains’, qui ne mérite pas qu’on prête attention à ce qu’il dit et fait ! L’écrivain congolais Mwamba Kanyinda avait écrit dans les années quatre-vingt un roman intitulé : « La pourriture » ; en voilà un prototype. Pas donc besoin de chercher très loin.
Ce « Vuvuzela » national est pire qu’un certain Kin Kiey Mulumba, dernier porte-parole du dernier gouvernement du Maréchal défunt. Mende Omalanga est tout simplement plus ridicule que le ridicule. Il est plus zélé que les tutshi usurpateurs eux-mêmes. Et cela doit les interpeller et les intriguer. Ils doivent s’occuper de lui, avant que lui ne s’occupe d’eux. On ne doit perdre de vue que ‘quiconque a trahi, trahira toujours’ ! Lorsqu’on cherche à tout justifier, au risque de se contredire, cela devient très suspect. Mende Omalanga est un danger pour les « pro » et les « anti-Kanembistes ». Il faut qu’on s’en occupe le plus vite possible. L’homme est tout simplement schizophrène !
Il suffit de l’observer pour se rendre compte que l’homme n’est pas à l’aise lors de ses prises de paroles. Il a un regard fuyant et honteux, comme s’il avait beaucoup à se reprocher. Il n’est tout simplement pas à l’aise devant la caméra, qui le renvoie à un miroir auquel on ne peut mentir. Regardez-le lors de ses interventions et vous comprendrez ! Le Monsieur n’est pas à l’aise. Cela étant, nous pouvons conclure que si Lambert Mende n’est pas malade, alors il est à éviter dans le camps du pouvoir sortant comme dans celui du nouveau pouvoir. Dans tous les cas de figure, ce Monsieur doit être mis aux arrêts et jugé pour avoir cautionné et défendu la vente du pays aux étrangers.

Symphorien NGUDIE Junior, dit « TUTASHINDA »

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