Les chrétiens sont l’image du Christ. Si ce dernier est la « VÉRITÉ », nous, chrétiens, devons prôner la vérité afin que Dieu soit avec nous. Les soi-disant responsables de l’église sont en train de décevoir la communauté chrétienne, qu’il s’agisse de Malu-Malu ou Ngoy Mulunda. Heureusement qu’en RD Congo, l’islam n’est pas très fort pour récupérer la situation. Je remercie le Cardinal Monsengwo pour le courage, le risque de rétablir la vérité pour les élections 2011. Que Dieu vous protège ! Soyez fort !
Voir en ligne : Position de l’église face à la fraude électorale
Devant la vaste fraude électorale qui a caractérisé les dernières présidentielles de la rd CONGO, plusieurs voix se sont levées pour dénoncer la turpitude du pasteur Daniel Ngoy Mulunda, président de la CENI, sur qui pourtant beaucoup de fidèles fondaient leur espoir afin que les élections présidentielles soient libres, démocratiques et transparentes. Croyant à tort qu’il pouvait faire mieux que le prêtre catholique qui avait également organisé la vaste tricherie électorale lors des présidentielles de 2006, Ngoy Mulunda a vu les avantages matériels et le pouvoir politique dont il pourra être gratifié par Joseph Kabila qu’il a fait passer par la tricherie éhontée.
C’est dans ces conditions de totale confusion et de la honte jetée sur l’église congolaise que le cardinal Laurent Monsengwo s’est levé pour sauver l’honneur de l’église, en exigeant en des termes clairs et précis, le rétablissement de la vérité des urnes. Et dans ses différentes interviews, l’archevêque de Kinshasa n’a pas eu sa langue dans la poche. Sans ambages, il a soutenu que Joseph Kabila n’est pas le président que le peuple congolais a choisi pour être président de la rd CONGO. Se basant sur les conclusions des quelques 30.000 observateurs déployés par l’église catholique pour la supervision des élections et les rapports de plusieurs missions d’observation internationale ayant couvert ces élections, Monseigneur Monsengwo remet en cause l’élection de Joseph Kabila et insiste pour que le nom du vrai vainqueur soit publié.
Il ne souffre plus d’aucun doute que c’est bien Etienne Tshisekedi qui a été le vrai vainqueur des dernières présidentielles. C’est juste par la bêtise du pasteur Ngoy Mulunda et ses collègues de la CENI que Joseph Kabila a été favorisé à travers une fraude institutionnalisée. Et comme le chef de l’église catholique exigeait le rétablissement de la vérité, le régime politique en place a commencé à s’en prendre au cardinal à travers une campagne de dénigrement.
Et pire, certains évêques catholiques ont même rejoint le camp du pouvoir pour décourager le cardinal Monsengwo. Mais en homme averti, le cardinal ne s’est pas laissé intimider. Il a rejeté toutes les avances du pouvoir de Joseph Kabila qui promettait monts et merveilles.
Et c’est dans cette dynamique du rétablissement de la vérité qu’une messe a été dite samedi dernier à Kinshasa dans la paroisse Saint Alphonse de Matonge pour donner la position de l’église sur les enjeux électoraux.
Et pour mémoire, ce culte a eu à drainer plus des quatre (4 000) personnes de tous les âges et croyances. Revenant sur les engagements historiques des feux cardinaux Joseph Malula et Frédéric Etsou, véritables pères de l’église catholique congolaise, les officiants ont unanimement pris l’engagement de voir l’église œuvrer en vue du rétablissement de la vérité des urnes.
Ces prêtres catholiques qui ont rejoint désormais la position prise par le cardinal Laurent Monsengwo en faveur de la voie de la vérité ont donné de la voix en exigeant que le vote du peuple congolais ne lui soit pas voté.
Et comme annoncé en début de la semaine, les évêques ont ouvert leurs travaux du conclave lundi dernier et ont eu à passer en revue tout le processus électoral. Et c’est aujourd’hui mercredi 11 janvier qu’ils ont clôturé leurs travaux et au cours desquels l’église a pris solennellement position pour le rétablissement de la vérité des urnes. De Kinshasa, nous apprenons que les travaux ont été entourés d’un grand secret et aucun intrus n’a pu infiltrer ces assises.
Mais la seule chose qui enchante le peuple congolais, c’est cet engagement formel du prélat catholique à œuvrer pour la seule vérité des urnes. Et au moment où nous mettons sous presse, nous apprenons que des laïques protestants ont adressé une pétition à la hiérarchie de l’église protestante pour exiger la mise à l’écart de Marine, Monseigneur de cette église, mais qui a pris position pour la voie du mensonge et de la fraude électorale.
journalchretien.net
C’est dans ces conditions de totale confusion et de la honte jetée sur l’église congolaise que le cardinal Laurent Monsengwo s’est levé pour sauver l’honneur de l’église, en exigeant en des termes clairs et précis, le rétablissement de la vérité des urnes. Et dans ses différentes interviews, l’archevêque de Kinshasa n’a pas eu sa langue dans la poche. Sans ambages, il a soutenu que Joseph Kabila n’est pas le président que le peuple congolais a choisi pour être président de la rd CONGO. Se basant sur les conclusions des quelques 30.000 observateurs déployés par l’église catholique pour la supervision des élections et les rapports de plusieurs missions d’observation internationale ayant couvert ces élections, Monseigneur Monsengwo remet en cause l’élection de Joseph Kabila et insiste pour que le nom du vrai vainqueur soit publié.
Il ne souffre plus d’aucun doute que c’est bien Etienne Tshisekedi qui a été le vrai vainqueur des dernières présidentielles. C’est juste par la bêtise du pasteur Ngoy Mulunda et ses collègues de la CENI que Joseph Kabila a été favorisé à travers une fraude institutionnalisée. Et comme le chef de l’église catholique exigeait le rétablissement de la vérité, le régime politique en place a commencé à s’en prendre au cardinal à travers une campagne de dénigrement.
Et pire, certains évêques catholiques ont même rejoint le camp du pouvoir pour décourager le cardinal Monsengwo. Mais en homme averti, le cardinal ne s’est pas laissé intimider. Il a rejeté toutes les avances du pouvoir de Joseph Kabila qui promettait monts et merveilles.
Et c’est dans cette dynamique du rétablissement de la vérité qu’une messe a été dite samedi dernier à Kinshasa dans la paroisse Saint Alphonse de Matonge pour donner la position de l’église sur les enjeux électoraux.
Et pour mémoire, ce culte a eu à drainer plus des quatre (4 000) personnes de tous les âges et croyances. Revenant sur les engagements historiques des feux cardinaux Joseph Malula et Frédéric Etsou, véritables pères de l’église catholique congolaise, les officiants ont unanimement pris l’engagement de voir l’église œuvrer en vue du rétablissement de la vérité des urnes.
Ces prêtres catholiques qui ont rejoint désormais la position prise par le cardinal Laurent Monsengwo en faveur de la voie de la vérité ont donné de la voix en exigeant que le vote du peuple congolais ne lui soit pas voté.
Et comme annoncé en début de la semaine, les évêques ont ouvert leurs travaux du conclave lundi dernier et ont eu à passer en revue tout le processus électoral. Et c’est aujourd’hui mercredi 11 janvier qu’ils ont clôturé leurs travaux et au cours desquels l’église a pris solennellement position pour le rétablissement de la vérité des urnes. De Kinshasa, nous apprenons que les travaux ont été entourés d’un grand secret et aucun intrus n’a pu infiltrer ces assises.
Mais la seule chose qui enchante le peuple congolais, c’est cet engagement formel du prélat catholique à œuvrer pour la seule vérité des urnes. Et au moment où nous mettons sous presse, nous apprenons que des laïques protestants ont adressé une pétition à la hiérarchie de l’église protestante pour exiger la mise à l’écart de Marine, Monseigneur de cette église, mais qui a pris position pour la voie du mensonge et de la fraude électorale.
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