Il ne se passe pas un jour à Kinshasa, sans que l’on ne dénonce ça et là un cas de vol, viol, tuerie, cambriolage, Kuluna, incendie, escroquerie,…L’état des lieux de la sécurité à Kinshasa est déplorable, compte tenu des cas de criminalité qui accroissent dans toutes les communes.

Dans la commune de Makala, un faux prophète a, par ces pratiques dites de délivrance, tué une fillette de 3 ans. Le nommée Jean-Pierre se déclarant serviteur de Dieu et, ayant un don de délivrance est allé prier pour une fillette de 3 ans qui était malade, arrivé dans la famille, il a recommandé à la mère de l’enfant d’acheter de l’huile de palme et il demandera à cette dernière de chauffer un peu d’eau et après le mélange avec de l’huile de palme. L’enfant a bu et après quoi, mort s’en est suivie. Selon la mère de l’enfant, « ce prophète guérisseur, dont on ne connait même pas l’adresse, est venu à la maison nous dire qu’il allait nous délivrait aujourd’hui ». Pour ce qui s’est produit ; « nous demandons à la Police nationale de faire son travail ».
A Kasa-vubu, un jeune Monsieur répondant au nom de Dieu a été trouvé mort dans un véhicule. Il fait parti d’un groupe des jeunes ressortissant de la province du Bas Congo, ils travaillent comme convoyeur, sans abri lorsqu’ils arrivent à Kinshasa, au parking de Mariano, ils passent nuit dans les camions.
Le Week-end dernier, comme le témoigne ces amis, Dieu s’est rendu à Matete pendant la journée et le soir il est revenu. Ce n’est que le dimanche matin qu’ils ont constaté que tout le monde s’était réveillé sauf lui. On est allé voir pourquoi il prolongeait le sommeil, c’est alors qu’on a dû constater qu’il saignait. Les habitants du quartier environnant soupçonnent que cela pourrait être soit un empoisonnement, soit un effet de mysticisme ou un crime.
A Ngaliema, des cantonniers ont trouvé la mort suite à l’écroulement du mur de la Régideso au quartier Ozone. Ce sont des cantonnier de la SNEL, qui travaillant dans des conditions inhumaines pour déterrer les câbles vétustes, ce sont retrouvés en dessous du mur. D’après les témoignages recueillis, ce mur date de longtemps et fait toujours des victimes. La population du quartier Ozone est montée au créneau pour réclamer la reconstruction du nouveau mur. Jusque-là, le nombre des morts n’est pas encore connu, car on tâtonnait entre 2 et 5 plus les passants une mère ainsi que son fils.
RTM
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