Un coup d' Etat contre le président de la République démocratique du Congo (RDC) Joseph Kabila et contre certaines institutions du pays a été déjoué avant sa mise en exécution, a rapporté vendredi la presse de Kinshasa, capitale de la RDC.
Selon les quotidiens Le Potentiel et La Prospérité qui citent des "sources fiables", les présumés auteurs du coup seraient des ex-soldats des Forces armées zaïroises de l'ancien président Joseph Mobutu, et de la DSP (Division spéciale présidentielle).
Grâce à la vigilance parallèle des services des renseignements de la RDC et de la République du Congo Brazzaville, certains membres du commando qui devait être largué sur Kinshasa le lundi 28 novembre, jour prévu pour des élections présidentielle et législatives sur l'ensemble du territoire de la RDC, seraient déjà arrêtés, tandis qu'une enquête a été ouverte par les autorités de Kinshasa pour découvrir les complices vivant à Kinshasa, selon les aveux des éléments arrêtés.
Les comploteurs visaient particulièrement la vie du chef de l'Etat congolais Joseph Kabila. Ils devaient attaquer simultanément deux villes : la capitale Kinshasa et la ville de Matadi dans la province du Bas-Congo.
A Kinshasa, leur attaque devait viser la résidence du chef de l'Etat, la prison centrale de Kinshasa, la prison militaire de Ndolo, tandis qu'à Matadi, chef-lieu de la province du Bas-Congo, les présumés comploteurs devaient s'en prendre à la prison centrale de Matadi pour en libérer tous les prisonniers.
Ce coup aurait également pour objectif de faire échouer le processus électoral en cours, de provoquer un vide juridique et de faire croire que les Congolais seraient toujours incapables de diriger un si grand pays qu'est la République démocratique du Congo.
On rappelle qu'au début de cette année, une vingtaine des ex-soldats attribués à l'ex-général Faustin Munene, actuellement réfugié à Brazzaville, avaient été arrêtés dans le territoire de Tshela, dans la province du Bas-Congo, puis jugés par un tribunal militaire et condamnés à des peines allant de prison à vie à 20 ans de prison ferme. Ils purgent leurs peines dans la prison de Matadi qui devait être attaquée par les présumés comploteurs.
Une délégation des services de renseignements de la RDC a quitté Kinshasa jeudi pour Brazzaville en vue de raffermir les liens de coopération avec leurs collègues de la république sœur du Congo/Brazzaville, selon les mêmes sources.
Selon les quotidiens Le Potentiel et La Prospérité qui citent des "sources fiables", les présumés auteurs du coup seraient des ex-soldats des Forces armées zaïroises de l'ancien président Joseph Mobutu, et de la DSP (Division spéciale présidentielle).
Grâce à la vigilance parallèle des services des renseignements de la RDC et de la République du Congo Brazzaville, certains membres du commando qui devait être largué sur Kinshasa le lundi 28 novembre, jour prévu pour des élections présidentielle et législatives sur l'ensemble du territoire de la RDC, seraient déjà arrêtés, tandis qu'une enquête a été ouverte par les autorités de Kinshasa pour découvrir les complices vivant à Kinshasa, selon les aveux des éléments arrêtés.
Les comploteurs visaient particulièrement la vie du chef de l'Etat congolais Joseph Kabila. Ils devaient attaquer simultanément deux villes : la capitale Kinshasa et la ville de Matadi dans la province du Bas-Congo.
A Kinshasa, leur attaque devait viser la résidence du chef de l'Etat, la prison centrale de Kinshasa, la prison militaire de Ndolo, tandis qu'à Matadi, chef-lieu de la province du Bas-Congo, les présumés comploteurs devaient s'en prendre à la prison centrale de Matadi pour en libérer tous les prisonniers.
Ce coup aurait également pour objectif de faire échouer le processus électoral en cours, de provoquer un vide juridique et de faire croire que les Congolais seraient toujours incapables de diriger un si grand pays qu'est la République démocratique du Congo.
On rappelle qu'au début de cette année, une vingtaine des ex-soldats attribués à l'ex-général Faustin Munene, actuellement réfugié à Brazzaville, avaient été arrêtés dans le territoire de Tshela, dans la province du Bas-Congo, puis jugés par un tribunal militaire et condamnés à des peines allant de prison à vie à 20 ans de prison ferme. Ils purgent leurs peines dans la prison de Matadi qui devait être attaquée par les présumés comploteurs.
Une délégation des services de renseignements de la RDC a quitté Kinshasa jeudi pour Brazzaville en vue de raffermir les liens de coopération avec leurs collègues de la république sœur du Congo/Brazzaville, selon les mêmes sources.
Casafree.com le 25/11/2011 14:18:53
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