Human Rights Watch (Hrw), par la voix d’Anneke van Woudenbergelle, sa représentante en RDC, affirme sur Bbc la mort de 12 membres de l’Udps, tous abattus froidement par la Garde républicaine (GR) ! « …des soldats ont tiré de façon indiscriminée le long de la route », soutient-elle. Le coup de Human Rigths Watch annonce en réalité la victoire de Joseph Kabila à l'élection présidentielle 2011 en RDC !
Pour ceux qui connaissent le modus operandi des ONGDH comme Human Rights Watch, Amnesty International, Transparency International etc., on assiste-là à une tentative d’attacher un gros boulet au pied de Joseph Kabila, sinon une grosse épine dans sa plante de pied. La période choisie pour ce faire n’a rien de fortuit : la date du vendredi 2 décembre 2011 retenue par la Céni pour commencer la présentation des tendances électorales que d’aucuns estiment déjà favorables au candidat n°3. D’ailleurs, une radio périphérique, très suivie en Afrique centrale, y a fait allusion dans son journal de ce matin. Le modus operandi rappelle qu’il en a été ainsi en 2006 avant la proclamation des résultats du 1er et du second tour. Et qu’il en avait déjà été ainsi en 1997, à un mois de la chute du maréchal Mobutu (lisez l’avènement de Laurent-Désiré Kabila), avec les fameuses allégations des massacres des réfugiés hutu perpétrés pendant la guerre de l’Afdl. En creusant davantage, on se rend compte que c’est toujours une affaire de gros contrats. Ça remonte quasiment aux années ’60 avec des affreux comme Jean Schramme, Bob Denard etc.
Il est de ces silences si assourdissants que l’on en vient à se demander si on n’est pas dans une sorte de répartition du travail « équitable et équilibré » qui ne dit pas son nom.
Tenez ! Le lundi 28 novembre 2011, sous le titre «Le bilan des tensions à Kinshasa s’alourdit : environ 10 morts et 40 blessés », le site www.radiookapi.net rapporte que « Les reporters de Radio Okapi ont pu identifier, ce dimanche 27 novembre, une dizaine de morts et une quarantaine de blessés dans quelques structures médicales de Kinshasa. La Police nationale congolaise (PNC), elle, a parlé de trois personnes tuées lors les échauffourées qui ont marqué la fin, samedi, de la campagne électorale dans la capitale congolaise ». Le site établit le relevé des formations médicales suivantes : hôpital de l’amitié sino-congolaise, hôpital Biamba Mutimbo et hôpital Roi Baudouin. Et d’ajouter : « Le bureau de la ligue des jeunes de l’UDPS a indiqué que la PNC a récupéré, ce dimanche, à la permanence de ce parti, trois autres corps après avoir dispersé les militants de l’UDPS sous des coups de gaz lacrymogènes ». Ce n’est pas tout : le média onusien reprend l’annonce du Palu faisant état de trois morts dans ses rangs, en plus de blessés et de véhicules endommagés, le même samedi 26 novembre 2011…
Voilà que cinq jours après, précisément ce vendredi 2 décembre, Human Rights Watch (Hrw), par la voix d’Anneke van Woudenbergelle, sa représentante en RDC, affirme sur Bbc la mort de 12 membres de l’Udps, tous abattus froidement par la Garde républicaine (GR) ! « …des soldats ont tiré de façon indiscriminée le long de la route », soutient-elle.
La chance des Congolais, en ce jour exceptionnel coïncidant avec l’annonce de la publication des tendances électorales par la Céni, est l’intervention, toujours sur Bbc, de Scott Campbell, représentant du Haut-commissaire des droits de l’Homme en RDC. Dans son interview de 5’15, ce dernier reconnaît les incidents qui se sont produits à Kinshasa le jour de la clôture de la campagne électorale, soit le samedi 26 novembre 2011, mais s’abstient d’impliquer formellement la GR et va même jusqu’à dénoncer les actes de provocations des militants de certains partis politiques à l’encontre des forces de l’ordre. Il enjoint d’ailleurs les leaders des partis d’arrêter avec cette pratique.
Dans un article mis en ligne le jeudi 1er décembre, nous avons décrit l’ambiance qui a prévalu sur le boulevard Lumumba le 26 novembre en posant cette série de questions, puisqu’ayant été témoins oculaires des incidents : «… pourquoi Tshisekedi a-t-il tenu absolument à rejoindre l’aéroport ? Qu’est-ce qui avait été planifié comme action pour justifier impérativement sa présence ? Pourquoi ses combattants, adultes et enfants confondus (…), avaient-ils des projectiles ? Ces projectiles étaient destinés à l’accueillir, lui, à coups de pierre et de tesson ? Qui avait donné aux combattants l’ordre de s’en munir ? Et pour en faire quel usage démocratique ? ».
Dans le même article, nous nous sommes demandés comment et pourquoi les professionnels des médias étrangers et internationaux (parfois c’est du pareil au même), croisés à Tshangu ce jour-là, témoins comme nous des actes de vandalisme perpétrés par les combattants de l’Udps sur tout individu ou tout véhicule portant un effet de campagne du candidat n°3 (tee-shirt, kepson, drapelet, foulard, pagne ou affiche), et cela au vu et au su de tout le monde, n’ont-ils pas présenté dans les journaux ou chaînes de télévision une seule « image des scènes de brutalité observées dans la rue kinoise avec des hordes de jeunes gens munis d’armes blanches, visiblement drogués, principalement ceux ‘ parqués’ le long du boulevard Lumumba ! » et comment et pourquoi, après l’accalmie du lendemain, n’ont-ils « pas fait preuve d’honnêteté en repartant sur les lieux des incidents pour interroger les riverains, victimes d’effets collatéraux du ‘pacifisme’ dont se drape l’Udps, question d’en savoir un peu plus sur les causes des troubles ! ».
Dès lors qu’il arrive à ces professionnels des médias de travailler la main dans la main avec les ONG étrangères et internationales des droits de l’homme (parfois c’est du pareil au même), ils auraient pu être utiles à celles-ci pour une meilleure documentation des exactions commises.
En fait de documentation, Anneke van Woudenbergelle semble s’être contentée des faits qui lui ont été rapportés par l’Udps, parti spécialisé, depuis 1990, dans la victimisation.
Dans son interview à Bbc, elle soutient avoir mené des enquêtes « la semaine passée » à Kinshasa à ce sujet. Or, sauf don d’ubiquité, elle était à Kitsanga, à 80 km de Goma, le lundi 28 novembre 2011. C’est, du reste, de là qu’elle a constaté le retard enregistré dans l’acheminement du matériel électoral par la Céni !
Par quel miracle - si ce n’est celui de la « procuration » - a-t-elle pu mener de sérieuses investigations sur les incidents du samedi 26 novembre et se retrouver deux jours plus tard à près de 1.500 km de Kinshasa ?
Conséquence, Mme Anneke van Woudenbergelle s’est fait avoir puisque, dans son interview, elle ne fait même pas allusion aux militants du Palu agressés le 26 novembre 2011 par les éléments de l’Udps à leur siège, et dont trois ont été tués ! On ne peut un seul instant imaginer les « sous-traitants » de l’Udps lui signaler ce crime-là. Conséquence de la conséquence : ces violences ne figurent pas dans le rapport. Ou plutôt si, puisque le nombre de morts est passé à 18, entre 6h00 et 12h00.
En plus, le mode opératoire classique n’a pas été respecté. Généralement, dans ses rapports, Hrw présente des faits. Mais, en plus, elle recueille les avis de la partie incriminée, en l’occurrence la GR. D’où le terme « documenté » puisque réunissant des éléments à charge et à décharge. Or, la représentante du Hrw n’a pas révélé le moindre contact amorcé avec la hiérarchie de la Garde républicaine !
Partant, elle produit, une fois de plus, un rapport « politiquement motivé ».
Pour ceux qui connaissent le modus operandi des ONGDH, on assiste-là à une tentative d’attacher un boulet au pied de Joseph Kabila, sinon une épine dans sa plante de pied. La période choisie pour ce faire n’a rien de fortuit : la date du vendredi 2 décembre 2011 retenue par la Céni pour commencer la présentation des tendances électorales qui, selon une radio périphérique très suivie en Afrique central, s’annoncent favorable au candidat n°3.
Il en a été ainsi en 2006 avant la proclamation des résultats du 1er et du second tour. Des rapports similaires avaient été jetés en pâture aux médias. Il en avait déjà été ainsi en 1997, à un mois de la chute du maréchal Mobutu (lisez l’avènement de Laurent-Désiré Kabila), avec les fameuses allégations des massacres perpétrés pendant la guerre de l’Afdl. Un rapport au vitriol avait été mis à la disposition de la presse par un certain Guillaume Ngefa, alors président de l’Azadho.
Le stratagème, comme on peut le deviner, permet de tenir en quelque sorte « en laisse » le nouveau pouvoir au profit, évidemment, des « puissances » dont ces ONG sont devenues des bras séculiers.
A l’instar, autrefois, des Bob Denard, des Jean Schramme.
On les appelait les « affreux » !
Omer Nsongo die Lema/presse présidentielle
Pour ceux qui connaissent le modus operandi des ONGDH comme Human Rights Watch, Amnesty International, Transparency International etc., on assiste-là à une tentative d’attacher un gros boulet au pied de Joseph Kabila, sinon une grosse épine dans sa plante de pied. La période choisie pour ce faire n’a rien de fortuit : la date du vendredi 2 décembre 2011 retenue par la Céni pour commencer la présentation des tendances électorales que d’aucuns estiment déjà favorables au candidat n°3. D’ailleurs, une radio périphérique, très suivie en Afrique centrale, y a fait allusion dans son journal de ce matin. Le modus operandi rappelle qu’il en a été ainsi en 2006 avant la proclamation des résultats du 1er et du second tour. Et qu’il en avait déjà été ainsi en 1997, à un mois de la chute du maréchal Mobutu (lisez l’avènement de Laurent-Désiré Kabila), avec les fameuses allégations des massacres des réfugiés hutu perpétrés pendant la guerre de l’Afdl. En creusant davantage, on se rend compte que c’est toujours une affaire de gros contrats. Ça remonte quasiment aux années ’60 avec des affreux comme Jean Schramme, Bob Denard etc.
Il est de ces silences si assourdissants que l’on en vient à se demander si on n’est pas dans une sorte de répartition du travail « équitable et équilibré » qui ne dit pas son nom.
Tenez ! Le lundi 28 novembre 2011, sous le titre «Le bilan des tensions à Kinshasa s’alourdit : environ 10 morts et 40 blessés », le site www.radiookapi.net rapporte que « Les reporters de Radio Okapi ont pu identifier, ce dimanche 27 novembre, une dizaine de morts et une quarantaine de blessés dans quelques structures médicales de Kinshasa. La Police nationale congolaise (PNC), elle, a parlé de trois personnes tuées lors les échauffourées qui ont marqué la fin, samedi, de la campagne électorale dans la capitale congolaise ». Le site établit le relevé des formations médicales suivantes : hôpital de l’amitié sino-congolaise, hôpital Biamba Mutimbo et hôpital Roi Baudouin. Et d’ajouter : « Le bureau de la ligue des jeunes de l’UDPS a indiqué que la PNC a récupéré, ce dimanche, à la permanence de ce parti, trois autres corps après avoir dispersé les militants de l’UDPS sous des coups de gaz lacrymogènes ». Ce n’est pas tout : le média onusien reprend l’annonce du Palu faisant état de trois morts dans ses rangs, en plus de blessés et de véhicules endommagés, le même samedi 26 novembre 2011…
Voilà que cinq jours après, précisément ce vendredi 2 décembre, Human Rights Watch (Hrw), par la voix d’Anneke van Woudenbergelle, sa représentante en RDC, affirme sur Bbc la mort de 12 membres de l’Udps, tous abattus froidement par la Garde républicaine (GR) ! « …des soldats ont tiré de façon indiscriminée le long de la route », soutient-elle.
La chance des Congolais, en ce jour exceptionnel coïncidant avec l’annonce de la publication des tendances électorales par la Céni, est l’intervention, toujours sur Bbc, de Scott Campbell, représentant du Haut-commissaire des droits de l’Homme en RDC. Dans son interview de 5’15, ce dernier reconnaît les incidents qui se sont produits à Kinshasa le jour de la clôture de la campagne électorale, soit le samedi 26 novembre 2011, mais s’abstient d’impliquer formellement la GR et va même jusqu’à dénoncer les actes de provocations des militants de certains partis politiques à l’encontre des forces de l’ordre. Il enjoint d’ailleurs les leaders des partis d’arrêter avec cette pratique.
Saut don d’ubiquité…
Les analystes avertis l’ont au moins constaté : pour une fois, les médias congolais, habitués à relayer dès le lendemain les rapports des ONG étrangères ou internationales de défense des droits de l’homme quand il s’agit de noyer le Pouvoir en place, se sont abstenus de reproduire dans leurs colonnes ce rapport voulu sulfureux, mais en réalité politiquement motivé ! Même le site www.radiookapi.net ne l’a pas placé dans sa page d’accueil !Dans un article mis en ligne le jeudi 1er décembre, nous avons décrit l’ambiance qui a prévalu sur le boulevard Lumumba le 26 novembre en posant cette série de questions, puisqu’ayant été témoins oculaires des incidents : «… pourquoi Tshisekedi a-t-il tenu absolument à rejoindre l’aéroport ? Qu’est-ce qui avait été planifié comme action pour justifier impérativement sa présence ? Pourquoi ses combattants, adultes et enfants confondus (…), avaient-ils des projectiles ? Ces projectiles étaient destinés à l’accueillir, lui, à coups de pierre et de tesson ? Qui avait donné aux combattants l’ordre de s’en munir ? Et pour en faire quel usage démocratique ? ».
Dans le même article, nous nous sommes demandés comment et pourquoi les professionnels des médias étrangers et internationaux (parfois c’est du pareil au même), croisés à Tshangu ce jour-là, témoins comme nous des actes de vandalisme perpétrés par les combattants de l’Udps sur tout individu ou tout véhicule portant un effet de campagne du candidat n°3 (tee-shirt, kepson, drapelet, foulard, pagne ou affiche), et cela au vu et au su de tout le monde, n’ont-ils pas présenté dans les journaux ou chaînes de télévision une seule « image des scènes de brutalité observées dans la rue kinoise avec des hordes de jeunes gens munis d’armes blanches, visiblement drogués, principalement ceux ‘ parqués’ le long du boulevard Lumumba ! » et comment et pourquoi, après l’accalmie du lendemain, n’ont-ils « pas fait preuve d’honnêteté en repartant sur les lieux des incidents pour interroger les riverains, victimes d’effets collatéraux du ‘pacifisme’ dont se drape l’Udps, question d’en savoir un peu plus sur les causes des troubles ! ».
Dès lors qu’il arrive à ces professionnels des médias de travailler la main dans la main avec les ONG étrangères et internationales des droits de l’homme (parfois c’est du pareil au même), ils auraient pu être utiles à celles-ci pour une meilleure documentation des exactions commises.
En fait de documentation, Anneke van Woudenbergelle semble s’être contentée des faits qui lui ont été rapportés par l’Udps, parti spécialisé, depuis 1990, dans la victimisation.
Dans son interview à Bbc, elle soutient avoir mené des enquêtes « la semaine passée » à Kinshasa à ce sujet. Or, sauf don d’ubiquité, elle était à Kitsanga, à 80 km de Goma, le lundi 28 novembre 2011. C’est, du reste, de là qu’elle a constaté le retard enregistré dans l’acheminement du matériel électoral par la Céni !
Par quel miracle - si ce n’est celui de la « procuration » - a-t-elle pu mener de sérieuses investigations sur les incidents du samedi 26 novembre et se retrouver deux jours plus tard à près de 1.500 km de Kinshasa ?
Conséquence, Mme Anneke van Woudenbergelle s’est fait avoir puisque, dans son interview, elle ne fait même pas allusion aux militants du Palu agressés le 26 novembre 2011 par les éléments de l’Udps à leur siège, et dont trois ont été tués ! On ne peut un seul instant imaginer les « sous-traitants » de l’Udps lui signaler ce crime-là. Conséquence de la conséquence : ces violences ne figurent pas dans le rapport. Ou plutôt si, puisque le nombre de morts est passé à 18, entre 6h00 et 12h00.
En plus, le mode opératoire classique n’a pas été respecté. Généralement, dans ses rapports, Hrw présente des faits. Mais, en plus, elle recueille les avis de la partie incriminée, en l’occurrence la GR. D’où le terme « documenté » puisque réunissant des éléments à charge et à décharge. Or, la représentante du Hrw n’a pas révélé le moindre contact amorcé avec la hiérarchie de la Garde républicaine !
Partant, elle produit, une fois de plus, un rapport « politiquement motivé ».
Vodéo : Le 26 Nov 2011 a Kin
Des bras séculiers
Il est à noter que les rapports « politiquement motivés » sont devenus sa spécialité. On se souviendra qu’en 2008, elle avait lancé un pétard mouillé avec son rapport intitulé « On va vous écraser », consacré aux événements de Kinshasa de mars 2008 entre les Fardc et la milice Bemba. Elle avait cru faire sensation en parlant de 500 opposants tués et 1.000 emprisonnés ! Depuis, elle n’est jamais parvenue à les documenter en donnant noms, professions, adresses ! Et ni le Mlc, ni l’Opposition dans son ensemble ne l’ont relancée pour fournir les preuves.Pour ceux qui connaissent le modus operandi des ONGDH, on assiste-là à une tentative d’attacher un boulet au pied de Joseph Kabila, sinon une épine dans sa plante de pied. La période choisie pour ce faire n’a rien de fortuit : la date du vendredi 2 décembre 2011 retenue par la Céni pour commencer la présentation des tendances électorales qui, selon une radio périphérique très suivie en Afrique central, s’annoncent favorable au candidat n°3.
Il en a été ainsi en 2006 avant la proclamation des résultats du 1er et du second tour. Des rapports similaires avaient été jetés en pâture aux médias. Il en avait déjà été ainsi en 1997, à un mois de la chute du maréchal Mobutu (lisez l’avènement de Laurent-Désiré Kabila), avec les fameuses allégations des massacres perpétrés pendant la guerre de l’Afdl. Un rapport au vitriol avait été mis à la disposition de la presse par un certain Guillaume Ngefa, alors président de l’Azadho.
Le stratagème, comme on peut le deviner, permet de tenir en quelque sorte « en laisse » le nouveau pouvoir au profit, évidemment, des « puissances » dont ces ONG sont devenues des bras séculiers.
A l’instar, autrefois, des Bob Denard, des Jean Schramme.
On les appelait les « affreux » !
Omer Nsongo die Lema/presse présidentielle
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