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mardi 28 avril 2015

Kinshasa : Un professeur a violé son élève âgée de 14 ans !


Scandale le lundi dernier dans un établissement scolaire de la commune de Kinshasa, dont nous taisons le nom, où un professeur a été attrapé en flagrant délit d’adultère avec son élève âgée de 14 ans. Pour parvenir à ses fins, le professeur a usé d’astuce en convoquant la fille en question au bureau, nous a-t-on laissé entendre. Et là, il l’a déshabillé de force, malgré les protestations de la fille qui s’est mise à crier.
Alerté par ces cris, le promoteur de cet établissement scolaire a cherché de savoir ce qu’il en était. C’est alors, qu’à travers la fenêtre, il a vu ce  professeur en train d’abuser de son élève. L’acte avait été déjà consommé parce que la fille a, par suite, saigné. On a trouvé sur la table les gouttes de sang de la fille. Ce qui a laissé entrevoir qu’elle venait d’être déflorée.
Selon les témoignages des autres élèves, ce professeur n’est pas là à son premier coup. C’est un habitué. D’où les nombreuses questions qui viennent à l’esprit. Pourquoi a-t-on laissé ce Dutron en liberté pendant si longtemps. Et le promoteur sa responsabilité n’est-il pas engagée pour avoir recruté un maniaque sexuel récidiviste ? En attendant, informés les parents de la fille violée ont réagi en traduisant ce professeur devant la justice. Mme Mabunda Lioko a donc là du pain sur la planche et ce professeur doit être sanctionné à la hauteur de la faute grave commise.
[Mosengo Ambula]

samedi 25 avril 2015

RDC : Le rwandais « Joseph KABILA » traite les Congolais comme des chiens !

C’est un péché mortel d’être né dans une famille pauvre en RDC. Par manque des soins pré-natal et préventif appropriés, un mort n’a pas le droit au respect et considération lui accordée. Quand on est pauvre ou indigent, on n’a pas le droit à la vie, au travail, à la formation au travail, logement, santé, éducation, et même un enterrement digne avec respect, on est jeté comme des chiens dans une fosse commune. On ne prend pas soins de connaitre votre identité ni de se soucier d’alerter la famille, vous êtes indigents, non. Une nouvelle culture du régime de Kabila en RDC. Il y a des intellectuels disponibles pour supporter aveuglement les idioties de ce régime.

1. Questions et définition des concepts :

Les raisons avancées par le Vice-Premier Ministre et Ministre de l’Intérieur, Monsieur Evariste Boshab sur la fosse commune de Maluku où sont enterrés des mort-nés, des indigents sans familles et moyens sont falacieuses.
Nous tenons ainsi à examiner le concept indigents, les devoirs et droits des indigents en RDC. Pour bien saisir la signification du concept indigent nous allons revoir la théorie de la pauvreté en Sciences Sociales.
Quand nous parlons du concept indigent, nous pensons ici au concept plus large, celui de la pauvreté. Un indigent dans le contexte précis utilisé ici signifie pauvre, sans moyens financiers, un clochard, un va-nu pied, un mendiant. C’est quoi la pauvreté, comment le conceptualisez-vous et les moyens d’éradiquer la pauvreté en RDC ?
La Théorie de la pauvreté :
Je veux vous épargner un cours de Théorie sur la pauvreté. Je veux me limiter à présenter deux positions théoriques de la pauvreté à savoir : la culture de la pauvreté, et afin la pauvreté structurelle ou systémique.
(1) La culture de la pauvreté : Ici les pauvres ou indigents sont responsables de leur état de pauvreté. Ils sont fainéants, inaptes. Ils ne veulent pas travailler. Ils préfèrent rester a la maison, faire l’amour, fabriquer des enfants pour collecter les subsides sociales (subventions alimentaires et médicales).
Les pauvres sont blâmés pour leur état de pauvreté. L’Etat est exempté et honoré de l’absence de pourvoir les services à ses populations : logement, santé, école, emploi etc. En RDC, les mort nés, les indigents sont ainsi blâmés d’être nés dans des familles pauvres, de grandir pauvres pour être indigents. Ils n’ont pas droit a la vie : droit au travail, formation au travail, droit aux subsides d’emploi, mieux la sécurité sociale, droit à la sante, et surtout pas de droit à un enterrement digne et respectueux selon notre culture et tradition.
De Lubumbashi, Likasi, Malemba Nkulu, Niania, Bafwasende, Wamba Isiro, Bunia, Goma, Bukavu, Bas Congo, Bandundu etc., partout en RDC la culture et la tradition nous enseignent le respect à tous les morts : morts nés et indigents. Aucun village en RDC enterre les morts nés dans une fosse commune sans cercueil, ni dignité et respect surtout un enterrement à 4 heures du matin, donc la nuit, en cachette.
(2) La pauvreté structurelle ou systémique nous renvoi à examiner la responsabilité de l’Etat, de la société qui doit pourvoir des services à ses habitants : logement. sante, éducation, transport et lutter pour éradiquer la pauvreté.
Le gouvernement doit avoir une politique d’emploi, un programme inventif de création emploi en RDC.
Ici, si les gens sont indigents ou pauvres, c’est la faute de l’Etat. En RDC quelle est la politique nationale de l’emploi et formation à l’emploi ? Quel est le taux du budget national alloué au logement, santé, transport ? Les capitaux sont –ils disponibles pour les petites et moyennes entreprises en RDC ? Le gouvernement reconnait-il qu’il existe une corrélation positive entre chômage et délinquance, crimes en ville ? Comment lutter contre la déviance sociale en RDC en arrêtant les chômeurs et les massacrer sans autre forme de procès.
La solution efficace est la combinaison de la responsabilité individuelle et l’appui de la structure de la société pour mieux éradiquer la pauvreté en RDC

3. Etat de Droit en RDC : 

Il n’existe pas un Etat de Droit en RDC. Le régime est fondé sur l’impunité depuis AFDL, RCD/Goma, MLC, CNDP et M23. Ces groupes armés rwandais se transforment en partis politiques, membres de la majorité présidentielle, jamais vu ailleurs sauf en RDC. Des sujets Rwandais et Ougandais deviennent des Congolais par la simple volonté de Joseph Kabila. Si il y avait un Etat de Droit, les crimes suivants seraient déjà règlés à savoir :
(a) La fille de Laurent Désiré Kabila assassinée a Mbinza-
(b) L’Assassinat de Laurent Désiré Kabila
(c) L’Assassinat du Colonel Mamadou Ndala
(d) La mort subite du Général Bahoume
(e) Les fosses communes du Nord Kivu par le groupe armé M23
(f) Le massacre des enfants de Beni avec un Général infiltré impliqué.
(g) Le massacre des adeptes de la secte religieuse BUNDU DIA KONGO au Bas-Congo
(h) L’Assassinat d’Armand Tungulu
(i) Les Assassinats de Chebeya et fidèle Bazana etc…………
Le bateau représente le même scenario pour divertir et s’attirer une sympathie contre un échec cuisant en RDC. Tenez :
Quand Goma est bombardée par le Rwanda, Joseph Kabila se déplace pour Kampala rencontrer ses frères Tutsi Yuweri Museveni et Paul Kagamé. Les images le montrent content entrain de rire ensemble avec ses hôtes.
Quand on massacre les enfants a Beni, Kabila va à Kisangani, gaspille deux semaines juste pour inaugurer un pont de la Tshopo. Pour certains, le pont est plus important que les enfants massacrés à Beni par les M23.
Dans aucun cas le deuil a été décrété ni un drapeau national a berne. Ceci montre que l’être humain n’a aucune valeur donnée.

4. En conclusion :

C’est un péché mortel d’être né dans une famille pauvre en RDC. Par manque des soins pré-natal et préventif appropriés, un mort n’a pas le droit au respect et considération lui accordée. Quand on est pauvre ou indigent, on n’a pas le droit à la vie, au travail, à la formation au travail, logement, santé, éducation, et même un enterrement digne avec respect, on est jeté comme des chiens dans une fosse commune. On ne prend pas soins de connaitre votre identité ni de se soucier d’alerter la famille, vous êtes indigents, non. Une nouvelle culture du régime de Kabila en RDC. Il y a des intellectuels disponibles pour supporter aveuglement les idioties de ce régime. On se demande pourquoi avons-nous été sur les bancs de l’école pour être ennemis de nos parents ?

[Ezabele wa Yasak, M.A Sociologie-USA - Muyomba, Manseba, Nguatshi, Oncle, Kwiya, Uncle, Noko, COLONEL, Prof. Tongo Etani]

RDC : Interrogations sur la capacité du gouvernement d'organiser les élections

Au parlement et au sein de la Société civile de la République démocratique du Congo (RDC), les interrogations fusent sur la capacité du gouvernement de cohésion nationale - chargé d’« appuyer l’organisation des élections » - de financer l’ensemble des scrutins prévus dans le calendrier électoral global 2015-2016 de la Commission électoral nationale indépendante (Ceni) évalué plus d’un milliard de dollars américains.
« Nous allons tout droit vers les élections. Nous avons décollé et nous avons besoin de tout le monde puisque ça va durer longtemps. Il faut être armé, car ça sera épuisant pour tout le monde soit deux années électorales d’affilée », a déclaré jeudi 16 avril 2015 à Kinshasa le président de la Ceni, au cours d’un point de presse.

« Les élections coûtent cher »

L’Abbé Apollinaire Malumalu a indiqué que « la Ceni a établi avec le gouvernement un plan de décaissement qui est en discussions approfondies avec  les experts du Gouvernement de la République ».
« Les élections coûtent cher dans notre pays, notamment du fait du manque des infrastructures de base. Ce qui exige une grande logistique opérationnelle », a-t-il expliqué.
A propos du débat sur les propositions de « modification » ou d’« ajustement » du calendrier électoral global au sein de la classe politique, il a rappelé que «l’élaboration et la publication du calendrier est une prérogative exclusive de la Ceni ».
A une question sur la participation de la Communauté internationale au financement des élections congolaises, il répondu que « cela sera défini après échanges avec les partenaires dans le cadre du Comité de partenariat des élections qui réunit la Ceni, le Gouvernement de la République et les Ambassadeurs ».
Il a ensuite annoncé l’arrivée à Kinshasa de la mission exploratoire de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) chargée de l’Audit externe du fichier électoral.
« La Ceni poursuit les opérations électorales telles qu’indiquées dans le calendrier, du reste, opposable à tous. Je le dis au nom de l’Assemblée plénière. Moi, je ne suis qu’un porte-parole. J’invite tous un et chacun à travailler pour que ce processus soit apaisé, transparent et dont les règles de jeu sont respectées et que la Ceni soit un arbitre pour tout le monde », a fait savoir l’Abbé Malumalu.
Après avoir passé « plus de deux mois en Afrique du Sud pour des soins médicaux », il a révélé avoir « subi une intervention chirurgicale » et qu’il se porte bien.
« Je suis déjà guéri. Le reste c’est une question de retrouver un peu de force», a-t-il rassuré.

Plus de 750 millions USD de crédits sollicités pour 3 ans de scrutins

Dans sa Feuille de route présentée à l’Assemblée nationale le 30 janvier 2015, le président de la Ceni avait sollicité plus de 750 millions USD de crédits sollicités pour les trois (3) ans d’organisation des différents scrutins.
L’objectif principal, a expliqué l’Abbé Apollinaire Malumalu, est de « vider les arriérés électoraux 2006-2011 et élire le président de la République en 2016 en passant d’abord par les élections municipales, urbaines et locales ainsi que celles provinciales et sénatoriales ».
« Le coût des élections urbaines, municipales et locales de 2015 est d’environ 300 millions de dollars américains pour lesquels la loi des finances de 2014 a déjà voté un budget de 166 millions de dollars américains. Puisque la préparation de ces élections urbaines, municipales et locales porte sur deux exercices budgétaires - l’exercice 2014 et l’exercice 2015 – il n’y a donc pas de problème de financement de ces élections», avait-il rassuré le 26 mai 2014 à Kinshasa.
Indiquant que « l’ensemble du budget, qui avait été déposé par la Ceni pour ces élections, est d’environ 300 millions USD », il avait précisé qu’« à chaque étape, la Ceni déposera au Gouvernement – qui assure le gros de financement – un plan de décaissement y afférant ».
« La Ceni pourra également solliciter la contribution de la communauté internationale, à travers le Comité de partenariat qui regroupe pour les représentants du gouvernement et des partenaires du processus électoral congolais », avait-il souligné.

Le gouvernement congolais « capable de financer les élections restantes »

Alors présidée de la Commission électorale indépendante (CEI), l’Abbé Apollinaire Malumalu avait annoncé en 2009 que le « budget global, pour la révision du fichier électoral et la tenue des élections urbaines, municipales et locales en 2010 s’élève à au moins 243 millions de dollars américains ».
« La CEI a déjà mobilisé 123 millions USD. Elle espère que les autres bailleurs vont bientôt se manifester. Parmi ces bailleurs, il y a l’Organisation des Nations Unies qui, par sa Résolution 1856 du 22 décembre 2008, a voté un budget qui met la disposition de la Mission des Nations Unies au Congo (MONUC) une enveloppe de 80 millions USD pour apporter son appui logistique l’organisation des élections urbaines, municipales et locales », avait-il indiqué.
Les autres bailleurs étrangers sont le Royaume-Uni, l’Union européenne, le Canada, les Pays-Bas, la Suède, la Belgique, la France, la Suisse, le PNUD, l’Italie, l’Espagne...
Ces élections n’ayant pas été organisées en 2010, Augustin Matata Ponyo, alors ministre des Finances, avait exprimé la conviction, le 3 février 2012 à Kinshasa, que  « le gouvernement congolais est capable de financer les élections restantes, dès lors qu’il y a gestion rigoureuse et transparente dans les finances publiques », trois mois après la tenue de la présidentielle et des législatives du 28 novembre 2011.
« Si pour la présidentielle et les législatives, le Gouvernement a décaissé 380 millions de dollars, rien ne peut l’en empêcher alors qu’il dispose actuellement d’une bonne partie des matériels, urnes, véhicules, satellites, hors-bords…, devant servir aux prochaines élections », avait-il insisté à l’occasion de la présentation du rapport des résultats du cadre macroéconomique et des finances publiques englobant les deux premiers mois de l’année 2012.

« Il faut éviter la spéculation sur les élections »

Au sortir de la réunion du Comité de pilotage pour la sécurisation des élections au ministère de l’Intérieur le 28 novembre 2014, le président de la Ceni vait appelé toutes les parties au processus électoral en RDC qu’« il faut se préparer dès maintenant aux élections et éviter la spéculation sur les élections ».
« Le train des élections est en marche, à tous les niveaux. Préparons-nous sérieusement à ces élections. Le Gouvernement ayant déjà approuvé le budget électoral triennal 2014 -2016, le problème de finances ne devrait pas se poser. Il s’est agi de voir quelles sont les rubriques urgentes à faire fonctionner dès maintenant en termes de financements », avait souligné l’abbé Apollinaire Malumalu.
Il avait expliqué à la presse qu’il avait été « question dans cette réunion de réactiver le fonctionnement des structures de ce comité en vue de préparer les élections futures en RDC ».

Calendrier des élections urbaines, municipales et locales

Le calendrier des élections urbaines, municipales et locales contient trois grandes dates: 
  • le 14 juin 2015 : scrutin des conseillers des communes, des secteurs et des chefferies ; 
  • le 29 août 2015 : vote des conseillers urbains, des bourgmestres et des chef des secteurs ;
  • le 15 octobre 2015 : scrutin des maires et maires adjoints.
« Les élections urbaines, municipales et locales sont les grandes  qui doivent aider à la stabilisation de l’Etat congolais. Il faut que le système électoral congolais soit défini une fois pour toutes, qu’il soit régulier. On ne peut pas à chaque élection, commencer avec des discussions qui ne se  terminent jamais. Le calendrier sera respecté et nous veillerons à ce que chaque Institution de la République  puisse remplir ses obligations légales », continue l’abbé Malumalu pour justifier les « mesures courageuses » de la Ceni.

jeudi 23 avril 2015

RDC : Les lobbys Tutsi-power sont parvenus à leur objectif ?

Les stratèges du Tutsi-power ont lâché Vital Kamerhe, comme un loup, dans l’arène politique congolaise, avec l’objectif de prendre le leadership de l’opposition congolaise en vue de préparer une alternative à leur «Cheval de Troie», Hyppolite Kanambe en difficulté devant la Communauté internationale qui ne semble plus le sentir. Ici, le Tutsi-power demeure conforme et fidèle à sa stratégie de projection et d’anticipation! Mais face à la levée de bouclier de la résistance congolaise à travers toute la diaspora, plus particulièrement après l’épisode du dernier fiasco de l’épopée de Washington où la jeunesse de la résistance congolaise a barré la route à Kamerhe et à son sponsor Herman Cohen, les experts et analystes du Tutsi-power à Kigali et à Kinshasa ont demandé à Vital Kamerhe de faire profil bas en hibernant, le temps que l’adversité des patriotes congolais à son égard s’apaise. « Les Congolais oublient vite », disent-ils dans leurs estimations, « il suffit d’attendre le bon moment et une bonne opportunité pour rebondir, et les Congolais mordront de nouveau à l’hameçon ». L’époque où les Congolais ne faisaient que danser et boire est définitivement révolue ! La jeunesse patriotique est aujourd’hui debout et scrute l’horizon de son avenir pour y desceller toute trace de l’ennemi. Plus rien ne sera comme avant ! Que les ennemis du peuple congolais se le tiennent pour dit !
Dans sa conquête d’occupation de la RD-Congo en vue de sa balkanisation et de l’annexion d’une partie de son territoire au Rwanda, le lobby Tutsi-power tire son principal avantage de sa capacité d’analyse et de projection des événements par rapport à ses victimes Zaïrois-Congolais qui eux, n’ont le plus souvent que l’immédiateté comme mode de vie et de combat. Ils ont en effet les yeux rivés sur leur nombril et n’arrivent pas à voir plus loin que le bout de leur nez. C’est ainsi que lorsque les Congolais ont accueilli les « réfugiés » tutsis rwandais dans les années 1950, ils n’ont vu en eux que des « frères misérables chassés de leur terre natale par leurs propres frères hutus ». Du coup, ils leur ont ouvert toutes les portes de leurs champs, de leurs terres, de leurs écoles et de leurs familles…. Tandis que ces «réfugiés», eux, voyaient déjà-là une opportunité qui leur était offerte pour ronger, comme un ver, le juteux «fruit-Congo» du dedans pour en prendre possession le moment venu. Et cinquante ans après, ils sont parvenus à leur objectif !
Aujourd’hui encore, cette stratégie de projection et d’anticipation leur réussit à merveille, car les Congolais sont en majorité réfractaires aux renseignements, à l’analyse, à l’anticipation et à la prévention. Tant que le serpent ne les a pas encore mordus, vous avez beau crier pour les mettre en garde contre la présence du serpent dans leur propre maison, ils s’en moquent et préfèrent même souvent vous cracher à la figure! C’est ce que font tous les jours de nombreux Congolais contre l’APARECO et son leader : ceux-ci ont beau crié pour dénoncer la stratégie d’infiltration des extremistesTutsis en RDC, certains Congolais préfèrent plutôt s’en prendre violement à eux, avec des injures et des imprécations, au lieu de prendre des précautions pour stopper et éradiquer le danger qui les menace. Mais heureusement, beaucoup de patriotes congolais ont aujourd’hui pris la mesure de ce danger et se sont résolument dressés sur le chemin de nos envahisseurs extrémistes tutsis-rwandais pour les empêcher d’accomplir leur projet diabolique.
Tel est le cas de celui impliquant Vital Kamerhe que les stratèges du Tutsi-power ont lâché ces derniers temps, comme un loup, dans l’arène politique congolaise, avec l’objectif de prendre le leadership de l’opposition congolaise en vue de préparer une alternative à leur «Cheval de Troie», Hyppolite Kanambe en difficulté devant la Communauté internationale qui ne semble plus le sentir. Ici, le Tutsi-power demeure conforme et fidèle à sa stratégie de projection et d’anticipation! Mais face à la levée de bouclier de la résistance congolaise à travers toute la diaspora, plus particulièrement après l’épisode du dernier fiasco de l’épopée de Washington où la jeunesse de la résistance congolaise a barré la route à Kamerhe et à son sponsor Herman Cohen, les experts et analystes du Tutsi-power à Kigali et à Kinshasa ont demandé à Vital Kamerhe de faire profil bas en hibernant, le temps que l’adversité des patriotes congolais à son égard s’apaise. « Les Congolais oublient vite », disent-ils dans leurs estimations, « il suffit d’attendre le bon moment et une bonne opportunité pour rebondir, et les Congolais mordront de nouveau à l’hameçon ». Mais, les temps ont changé L’œil du Patriote a aussi ses experts et analystes qui veillent aux grains ! L’époque où les Congolais ne faisaient que danser et boire est définitivement révolue ! La jeunesse patriotique est aujourd’hui debout et scrute l’horizon de son avenir pour y desceller toute trace de l’ennemi. Plus rien ne sera comme avant ! Que les ennemis du peuple congolais se le tiennent pour dit !  

François BEYA prend la tête de peloton des «chasseurs de primes» à la recherche d’Honoré Ngbanda-Nzambo

Le leader de l’PARECO constituera pour un bon moment un véritable fonds de commerce des collabos autour de «Joseph Kabila» qui a fait de sa suppression physique son obsession politique. Après l’échec de la dernière mission des agents rwandais au Botswana et au Malawi, toujours à la recherche du fantôme d’Honoré Ngbanda, c’est autour de monsieur François BEYA, DG de la Direction Générale de Migration (DGM) de prendre le relais des chasseurs de prime pour apporter à l’imposteur rwandais au pouvoir à Kinshasa la tête du leader de l’APARECO sur un plateau d’argent, comme celle de Jean-Baptiste au roi Erode.
Et comme d’autres «chasseurs» avant lui, François BEYA compte pister les milieux familiaux et politiques proches de sa cible. Et depuis qu’il a reçu son budget pour cette mission, ses proches nous informent que le DG de la DGM ne tient plus en place dans ses bureaux à Kinshasa, il sillonne désormais le monde, à la recherche de sa proie. Aux yeux de «Kabila», François Beya bénéficierait d’un atout particulier par rapport à ses prédécesseurs, celui de la discrétion. Car l’imposteur rwandais estime que les services de la DGM sous François Beya seraient jusqu’ici les seuls à ne pas encore être infiltrés par les taupes du puissant réseau de la résistance congolaise !
L’œil du Patriote souhaite donc la bienvenue à François BEYA dans le club misérable de ces «chasseurs de prime» au service des occupants. Cependant, il lui conseille ardemment de prendre soin de lui-même d’abord, car dans la jungle, il arrive que le chasseur soit souvent chassé à son tour! Ca n’arrive pas qu’aux autres…
Paris, le 18 Avril 2015
Candide OKEKE
L’OEIL DU PATRIOTE

mercredi 22 avril 2015

Journal de Bibish Nguwa, Edition 22 Avr 15 Congo News

Interview Tresor Mputu; Des problemes avec Kabuscorp; De retour a Mazembe

CONCLUSION DE MARCHE PACIFIQUE ODON MBO PARLE DE PLUSIEURS CHARNIERS A K...

La Jeunesse PPRD déclare la guerre aux combattants par des actes d'intim...

Les medecins de Kinshasa décide de continuer la grève jusqu' au retour d...

Fosse de MALUKU:Lambert Mende contre attaque et donne sa vérité sortie d...

Lambert Mende démontre que l'utilisation du cercueil n 'est pas obligato...

Vital Kamerhe demande l'exumation et l'autopsie des corps enterrés à Maluku

425 MORTS UN CHARNIER A MALUKU MARCHE PACIFIQUE

PASTEUR MAKOLO KOTAMBOLA: FOSSE COMMUNE DE MALUKU,MOTION DE DEFIANCE CON...

Le Forum de l'AgriBusiness, s'est tenu à Kinshasa

vendredi 17 avril 2015

Kinshasa: 1 mois après, activistes FILIMBI et LUCHA toujours en prison @...

DECLARATION OPPOSITION KAMERHE PAR RAPPORT YA FAUSE COMMUNE

Scène incroyable de la ville de Kinshasa qui s'est arrêtée de fonctionner

LINAFOOT : HUIS CLOS A KINSHASA , DISCRIMINATION ? Eugène Kabongo Analyse

AFFAIRE FOSSE COMMUNE DE MALUKU: BA KINOIS BA LOBI TROP C'EST TROP.

Fosse de MALUKU:Lambert Mende contre attaque et donne sa vérité sortie d...

Malu Malu; Le calendrier Electoral sera respecté

Xenophobie, le gouv Congolais va envoyer une delegation en Afrique du Sud

Enquetes tombe commune de Malaku,

Travaux Routiers; Rehabilitation Boulevard Sendwe

mercredi 15 avril 2015

RD Congo: Ivanhoe Mines confirme l’existence d’un plus riche gisement en profondeur à Kipushi

(Agence Ecofin) - Ivanhoe Mines, minière canadienne cotée à Toronto, confirme la découverte d’une nouvelle zone minéralisée à des « teneurs exceptionnellement élevées » en zinc, cuivre et argent dans la mine Kipushi, située dans le sud de la province du Katanga.
La découverte est révélée par les résultats du cinquième lot d’analyse de son programme de forage au diamant en souterrain dans cette mine, a-t-elle rapporté le 13 avril.
Les résultats d’analyse obtenus pour le trou KPU072 ont confirmé, a-t-elle précisé, l’existence en profondeur d’une zone de minéralisation de zinc à forte teneur, au sud de la Big Zinc Zone, la zone de plus forte minéralisation de cuivre dans la mine Kipushi.
Février dernier, Ivanhoe Mines a fait état de ce que KPU072 a atteint une profondeur de 1272 m et a intercepté une nouvelle minéralisation massive d’une épaisseur de plus de 60 m.
Le trou rèvèle, précise -t-on, près de deux mois plus tard, des teneurs de 37% de zinc, 0,6% de cuivre, 6 g/t d’argent et 54g/t de germanium sur 57,7 m comprenant un intervalle de 50,8m avec 40,7% de zinc, 0,6% de cuivre, 6g/t d’argent et 54g/t de germanium. « Notre programme de forage souterrain à Kipushi continue d’entrecouper des teneurs extrêmement élevées dans plusieurs zones, conduisant ainsi à une meilleur compréhension de la géologie et à un contrôle structural de la minéralisation », a commenté Robert Friedland (photo), Executive Chairman d’Ivanhoe Mines.
Selon M. Friedland, pendant que la plus grande mine de zinc au monde située en Australie réduit les activités en raison de l’épuisement du minerai, c’est le moment idéal de penser à reprendre la production à Kipushi, le plus riche gisement de zinc-cuivre au monde où la Big Zinc zone a montré des teneurs variant entre 40 et 60% de zinc.
Ivanhoe Mines détient à 68%, contre 32% pour la compagnie publique Gécamines, la mine de Kipushi, recelant du cuivre-zinc-germanium-plomb et des métaux précieux, située sur la ceinture de cuivre de l’Afrique centrale, à moins d’un kilomètre de la frontière de la RD Congo avec la Zambie.
agenceecofin.com

Mgr Eugène Moke « bon et fidèle serviteur »



L’évêque auxiliaire émérite de Kinshasa, Mgr Eugène Moke, décédé à 99 ans le lundi de Pâques 6 avril, repose désormais dans l’église saint Joseph de Kinshasa. Il a été enseveli le vendredi 10 avril après la messe présidée par l’archevêque de Kinshasa, le cardinal Laurent Monsengwo, dans le stade de football Père Raphaël de la Kethule. Des dizaines d’évêques et de prêtres ont concélébré.
La messe a commencé par le chant de l’exultet chanté en langue lingala, en l’honneur de son compositeur. Au lendemain du Concile Vatican II, l’archevêque de Kinshasa d’alors, le cardinal Joseph-Albert Malula, avait promu la liturgie en langue lingala, et Eugène Moke fut l’un des artisans de ce renouveau liturgique.
Bon et fidèle serviteur, c’est à l’unanimité que le peuple de Dieu reconnaît ainsi la vie et l’œuvre de l’évêque défunt. Des hommages de divers groupes et personnalités lui ont été rendus le jeudi soir 9 avril, dans la cathédrale Notre-Dame du Congo, avant et après que Mgr Tharcisse Tshibangu a présidé l’eucharistie. L’évêque émérite de Mbuji-Mayi avait été d’abord évêque auxiliaire de Kinshasa nommé en 1970 avec Mgr Eugène Moke. Mgr Tshibangu a dit toute sa reconnaissance pour Mgr Moke.
http://fr.radiovaticana.va/

mardi 14 avril 2015

Affaire Kamerhe-Moleka : la Cour suprême de justice sursoit l’audience

La Cour suprême de justice (CSJ) a décrété lundi 13 avril à Kinshasa la surséance de l’audience dans l’affaire qui oppose le président de l’UNC Vital Kamerhe à la députée PPRD Wivine Moleka. La décision a été prise à la suite d’une requête en inconstitutionnalité déposée vendredi dernier par les avocats de Kamerhe devant la Cour constitutionnelle nouvellement installée.

« Pour nous, il y avait une irrégularité parce que l’ordonnance de délocalisation devrait être communiquée avec [copie] au prévenu. Cela n’a pas été fait et nous l’avons présenté devant la cour qui a rejeté cette exception », a affirmé l’un des avocats, Me Patrick Tshekoya.
Les avocats de Vital Kamerhe déplorent également des incidents qui ont émaillé cette audience à la Cours suprême de Justice, citant notamment les jets de pierre sur les sympathisants de Vital Kamerhe.
« Il n’est pas admissible que d’autres compatriotes jettent des pierres et blesser délibérément les sympathisants de Vital Kamerhe qui sont venus le soutenir devant l’audience. C’est incompréhensible », a ajouté Me Patrick Tshekoya.
Le ministère public poursuit l’opposant Kamerhe en matière répressive pour dénonciation calomnieuse et imputation dommageable à l’endroit de cette députée de la majorité présidentielle. L’UNC avait accusé Wivine Moleka d’avoir fraudé lors des élections législatives de 2011 à Kinshasa.
Un sit-in a été organisé à Goma pour protester contre la tenue de ce procès que les sympathisants de l’UNC qualifient « d’acharnement » à l’approche de la présidentielle de 2016.
radiookapi.net

Affaire de Maluku: des diplomates visitent la morgue de Kinshasa

mediaLes autorités congolaises ont fait visiter la morgue centrale de Kinshasa à des diplomates, lundi 13 avril, en preuve de leur bonne foi dans l'affaire des cadavres de Maluku.AFP PHOTO/FEDERICO SCOPPA
En RDC, la fosse commune de Maluku est toujours au cœur de l’actualité. Lundi 13 avril, le ministre de la Justice s'est adressé aux diplomates en poste à Kinshasa. Ils ont même été invités à visiter la morgue centrale de la capitale dans un souci de « transparence » et pour tenter de mettre fin à la polémique autour de cet enterrement collectif de 421 personnes le 19 mars dernier.
Devant nous, une pièce d’une vingtaine de mètres carrés réfrigérée. A l’intérieur, des dizaines de corps côte à côte, entreposés sur plusieurs niveaux dans des sortes d’étagères en bois. 188 corps sont dans cette morgue depuis début avril, affirme le directeur de la morgue. Ce sont 103 bébés et 85 adultes, abandonnés par leurs familles.
L’odeur de formol et de désodorisant aspergé en continu par le personnel de la morgue pique les yeux et la gorge. Il est impossible pour les visiteurs de s’éterniser, de vérifier le nombre ou l’identité des cadavres, par exemple. Mais pour le porte-parole du gouvernement, Lambert Mende, voir ces corps est important : « Ceux qui vous faisaient croire jusqu’à présent qu’il n’y a jamais eu de décès d’indigents à Kinshasa, sauf  ceux-là, pour cacher les morts de janvier 2015, ceux qui vous ont dit qu’il n’y a jamais eu de bébés morts à Kinshasa, vous ont menti, puisque voilà des bébés morts. Voilà des indigents emmenés à l’hôpital. C’est ça notre motivation. »
Une visite qui ne donne aucune indication sur l’identité de ceux qui ont été enterrés le 19 mars à Maluku, regrette un diplomate sous couvert d’anonymat. Des questions demeurent. La liste des noms des personnes enterrées à Maluku n’a pas encore été remise à la presse ou aux organisations de protection des droits de l’homme. Des interrogations qui ont également donné lieu lundi à une séance agitée à l’Assemblée nationale. Le ministre de l’Intérieur doit s’exprimer ce mardi devant les sénateurs sur cet enterrement collectif qui depuis dix jours est au cœur de l’actualité.
rfi.fr

RD Congo : Mavinga explique son choix

« J’ai été un international français jusqu’à l’année dernière. Mais mon choix (…) était de jouer pour la RDC et j’attendais le bon moment pour faire partir de cette sélection », a expliqué Chris Mavinga à Radio Okapi. « Le choix je l’avais déjà fait quand je jouais à Rennes. Et depuis, j’avais envie de faire partir de cette sélection mais c’est juste qu'il fallait attendre le bon moment », a ajouté celui qui appartient toujours au Rubin Kazan.

P.J (Rédaction Football365/FootSud)

RD Congo : Une Année du jubilé pour l’évangélisation du Kasayi

Les évêques membres de l’Assemblée provinciale épiscopale de Kananga viennent de convoquer une Année du jubilé à l’occasion du 125ème anniversaire de l’évangélisation du Kasayi. L’Année sera ouverte le 5 décembre 2015 et sera clôturée le 8 décembre 2016. Cette convocation de l’année du jubilé est l’une des décisions prises lors de la session ordinaire de l’Assemblée épiscopale des 8 diocèses de la province ecclésiastique de Kananga tenue à Kananga du 8 au 11 avril sous la présidence de l’archevêque de Kananga, Mgr Marcel Madila.
Les évêques ont aussi créé cinq commissions provinciales de pastorale et ils en ont désigné les présidents pour s’occuper de la catéchèse et de la liturgie, de l’enfance, la jeunesse et l’éducation, la famille et les séminaires, la vie consacrée, la caritas, justice et paix, la communication, les affaires juridiques et l’aumônerie de la police et de l’armée. Les cinq commissions auront respectivement à leur tête messeigneurs Gérard Mulumba de Mweka, Bernard Kasanda de Mbuji-Mayi, Valentin Masengo de Kabinda, Pierre-Célestin Tshitoko de Luebo et Félicien Mwanama de Luiza.
Les évêques des provinces du grand Kasai ont pris ces décisions à l’issue de l’examen des travaux réalisés lors de sessions spécialisées, notamment la Session d’évaluation et de planification pastorale, la  Session pastorale sur la vie consacrée, le rapport sur la propédeutique et les grands séminaires ainsi que le rapport sur l’institut supérieur des sciences religieuses et les trois universités catholiques de la Province ecclésiastique.
http://fr.radiovaticana.va/

lundi 13 avril 2015

Une fosse commune contenant 421 corps découverte en RDC

300 mort-nés ou foetus, 23 corps abandonnés, 34 indigents et 64 personnes non identifiées. Les autorités de la ville-province de Kinshasa, en République démocratique du Congo, ont recensé, lundi 6 avril, les 421 corps de la fosse commune découverte à Maluku, à environ 80 kilomètres à l'est de la capitale congolaise. Cette fosse avait pour objectif de désengorger la morgue générale de la capitale, d'une capacité de quelque 300 places, ont précisé les autorités.
Ces dernières démentent ainsi les rumeurs affirmant que la fosse pourrait abriter des victimes des troubles de janvier, lors desquels plusieurs dizaines de personnes ont été tuées – essentiellement à Kinshasa – lors de manifestations contre un projet de révision de la loi électorale.

« De surenchère en surenchère »

Jeudi, la RDC avait déjà appelé à la raison face à ses rumeurs qui vont « au delà du raisonnable », selon le porte-parole du gouvernement congolais, Lambert Mende. M. Mende a notamment regretté que l'ambassade de la RDC à Paris ait été la cible d'une « agression » mercredi. Une quinzaine de personnes ont fait irruption dans le bâtiment, selon la police qui a précisé que quelques meubles avaient été renversés et du ketchup lancé sur le personnel de l'ambassade.
« Il est (...) naturel qu'une telle information soulève des interrogations. Néanmoins, (...) malgré les informations et les explications fournies par les autorités municipales, on va de surenchère en surenchère. »
Une enquête judiciaire a été ouverte à la demande du bureau conjoint de l'ONU pour les droits de l'homme (BCNUDH) en RDC. Les autorités se sont engagées à exhumer les corps si besoin. Dans un communiqué publié jeudi, Amnesty International « demande au gouvernement de la RDC de s'appuyer sur l'assistance technique (onusienne) pour mener une enquête sur la fosse commune qui soit véritablement indépendante et efficace » et qui permette d'identifier précisément les corps enterrés à Maluku.
De nombreuses associations congolaises et l'organisation de défense des droits de l'homme « Human Rights Watch » ainsi que la Belgique ont également demandé une enquête « crédible » et « indépendante », selon les termes de l'ancienne puissance coloniale en RDC.


lemonde.fr
Le Monde.fr 

RD Congo (9e journée) : le TP Mazembe battu par Shark XI

Sur la pelouse du stade Tata Raphaël de Kinshasa, Shark XI a surpris le Tout Puissant Mazembe en s’imposant 2-1.
Le match comptant pour la 9e journée des play-offs du championnat de la RD Congo a été mal entamé par les Corbeaux. En effet, face aux projectiles lancés par les supporters des locaux, l’arbitre a retardé le début de la rencontre surtout que l’un a touché la cheville du joueur du TP Mazembe, Boubacar Diarra. Les joueurs dePatrice Carteron ont ensuite encaissé deux buts pendant les premières cinq minutes de la rencontre. La réduction du score est venue à la 81e minute par les pieds Salif Coulibaly.

République démocratique du Congo. Les mystères de la fosse commune de Maluku

Que cache la fosse commune avec près de 400 corps ? Sa découverte alimente toutes les hypothèses : l’opposition soupçonne une tentative de dissimulation de la répression policière de janvier, le gouvernement évoque un enterrement collectif de corps abandonnés.
La découverte, le 3 avril, d’une fosse commune à Maluku, à 80 kilomètres au nord de la ville de Kinshasa, est au cœur d’une violente polémique dans le pays. Selon le quotidien kinois Forum des Asil y aurait plus de 400 corps qui y sont enterrés
L’opposition et les organisations des droits de l’homme soupçonnent que ces corps sont des victimes de la répression policière des manifestations de janvier 2014 contre la modification de la Constitution, pour permettre au président Joseph Kabila de rempiler
“Circulez, rien à voir !” rétorque le gouvernement. En effet, dans Forum des Asle gouverneur par intérim de Kinshasa Robert Luzolanu Mavema explique que “le 19 mars 2015 [...] 421 personnes ont été inhumées. Il s’agissait de 300 mort-nés et des fœtus abandonnés dans les ruisseaux, les rivières et même les hôpitaux, de 23 corps qui ont été abandonnés, d’indigents au nombre de 34 et de 64 personnes non identifiées” tout en ajoutant qu’un nombre indéterminé de ces cadavres avaient été remis par la Croix-Rouge.
Des explications qui ne semblent guère convaincre. Les organisations de défense des droits de l’homme, la Mission des nations unies au Congo (Monusco) et l’Etat belge réclament une enquête.
courrierinternational.com
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